Place des femmes en astronomie
Les femmes sont présentes en astronomie depuis des millénaires. La civilisation de Sumer, qui a produit quelques-uns des tous premiers astronomes historiques, a aussi fait de sorte que, du côté des femmes du IIe millénaire av. J.‑C., des astronomes sumériennes dirigent des grands temples observatoires. De Christine de Suède, Émilie du Châtelet qui traduit Newton, et Nicole-Reine Lepaute, jusqu’au début du XXe siècle, c’est en tant que « calculatrices », sortes d’ordinateurs humains, que plusieurs femmes s’impliquent ou sont engagées par les observatoires afin d’extraire l’information de données complexes. Certaines s’illustrent alors, telle que l’Américaine Annie Jump Cannon.
En 1992, des astronomes dont Claudia Megan Urry établissent The Baltimore Charter for Women in Astronomy qui vise à assurer des chances égales aux femmes.
Les historiens qui s’intéressent au genre et la science, dont notamment Londa Schiebinger, Éric Sartori et Yaël Nazé, et ont mis en lumière les efforts scientifiques et les réalisations des femmes, les obstacles rencontrés et les stratégies mises en œuvre pour que leur travail soit accepté par leurs pairs.
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Un hommage particulier à Vera Rubin décédée le 25 décembre 2016 à l’âge de 88 ans. Cette astronome américaine Lire la suite